Un vol de deux heures s’est transformé en cauchemar : le comportement répugnant d’un passager m’a poussé à des mesures extrêmes — et a laissé toute la cabine sous le choc.

Je m’attendais à un vol court, tranquille, sans histoires.
Deux heures seulement entre Lisbonne et Paris. Une formalité.
Mais ce que j’ai vécu ce jour-là m’a donné envie de ne plus jamais monter dans un avion.

Dès l’embarquement, je l’ai remarqué.
Couloir 17, siège B. Un homme d’une cinquantaine d’années, en short, sandales… et sans aucune gêne.

À peine assis, il a retiré ses chaussures. Jusque-là, soit. Mais ensuite, il a posé ses pieds nus et sales sur l’accoudoir devant lui — c’est-à-dire… le mien.

Je me suis retourné, poliment, lui ai demandé de les retirer.
Il a souri. Pas un mot. Et n’a rien fait.

Je me suis dit : ok, calme. Respire. Deux heures, ce n’est pas l’éternité.

Mais ce n’était que le début.

Il a commencé à manger un sandwich au thon qu’il avait visiblement gardé dans un sac plastique depuis… longtemps. L’odeur était indescriptible. Puis il s’est mis à se curer les ongles avec une clé, qu’il a ensuite posée sur le plateau du siège.

Les passagers autour de nous échangeaient des regards consternés. Les stewards semblaient hésiter à intervenir. Mais personne ne disait rien.

Moi, par contre, je n’en pouvais plus.

Alors j’ai sorti mon téléphone. J’ai commencé à le filmer. Et surtout, j’ai commenté, fort et clairement, ce qu’il faisait :

« Voici un homme qui croit que l’avion est sa salle de bain privée… »

Il m’a lancé un regard noir. Puis a essayé de m’arracher le téléphone.
Erreur. L’hôtesse est intervenue immédiatement. J’ai montré la vidéo. Les passagers ont confirmé.

Et là, chose incroyable : le pilote a pris la décision de le faire débarquer à notre escale technique à Bordeaux.

La cabine a applaudi.

Moi ? J’ai enfin pu respirer.

Et depuis ce jour, je voyage toujours avec des écouteurs, du gel désinfectant… et une batterie externe. Juste au cas où.

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